ILorsque, rêvant d'amour, dans l'oubli de la vie,Nos bras s'entrelaçaient, ma main pressait ta main,Oh! qui m'eût dit alors qu'à mes baisers ravie, Tu me fuirais le lendemain. IIIls ne reviendrons ...
Oui, Platon, tu dis vrai ; notre âme est immortelle,C'est un Dieu qui lui parle, un Dieu qui vit en elleEh ! d'où viendrait sans lui ce grand pressentiment,Ce dégoût des faux biens, cette horreur ...